Les Tubes, ça s'écrivait comme ça - La parole aux paroliers par Baptiste Vignol
Avec la participation de : Vincent Baguian, Pierre Barouh, Boris Bergman, François Bernheim, Vline Buggy, Jacques Duvall, Jean-Paul Dréau, Claude Lemesle, Jean-Max Rivière, Richard Seff, David McNeil, Robert Nyel, Maurice Pon, Jean-Michel Rivat et Frank Thomas.
Leurs noms ne disent rien au grand public, qui connaît pourtant par cœur leurs chansons. «Le Téléphone pleure», «L’Été indien», «À bicyclette», «Banana Split» «Tout doucement», « La Madrague», «Les Démons de minuit», «Pour le plaisir», «Mélissa», «Vertige de l’amour», «Une chanson douce»… Stop ! Des dizaines de refrains populaires, qui ont fait l’âge d’or de la chanson française, pleurer des rivières, danser et s’aimer des millions de Français. Quinze paroliers d’élite sont ici pour la première fois réunis. Quinze « songwriters» qui, tous, comptent au moins dans leur tableau de chasse un numéro 1 du hit-parade. Un tube, comment ça s’écrit ? En moins de minutes qu’il n’en faut pour le chanter nous dira Jean-Paul Dréau, en évoquant «Le Coup de soleil» qu’il offrit à Richard Cocciante; ou bien alors en trois mois de labeur, le temps de trouver la bonne alchimie, expliquera Robert Nyel à propos de «Déshabillez-moi », que Juliette Gréco immortalisa. Au fil d’entretiens fleuves, ces «écrivains de chansons» sortent enfin de l’ombre et nous donnent les clefs des petits et des grands secrets d’un métier d’artisan en voie de disparition.
Baptiste Vignol est un collaborateur régulier de la revue Schnock. Passionné par la chanson française, il est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages sur le sujet. Ses derniers opus : Renaud, Chansons d’enfer et Téléphone, 3400 nuits, parus chez Gründ en 2016.
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16,5 X 21,5, 192 pages, 19 euros. Parution le 9 novembre 2016.
La soirée de lancement aura lieu le mercredi 16 novembre à partir de 18h30 à la librairie Parallèles, 47, rue Saint-Honoré, 75001 Paris. Entrée libre.
En présence de Baptiste Vignol mais aussi des paroliers Pierre Barouh, Boris Bergman, Frank Thomas, François Bernheim et Vincent Baguian