La nuit ne viendra jamais
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La nuit ne viendra jamais

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Joseph d'Anvers

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LE LIVRE 

Paris, 2024. Il pleut depuis des mois, des années. Un homme est assis dans un bar de Pigalle. Seul. Une lettre devant lui. Quelques minutes plus tard, il s’engouffre dans la nuit. Personne ne le reverra. Des années plus tôt. Mona, jeune journaliste, décide d’écrire un article sur Ian, leader d’un groupe de rock anglais mythique. Dans la lignée du «nouveau journalisme» des années 70, elle part avec lui en tournée, et se retrouve confrontée à une série de meurtres perpétrés pendant les concerts du groupe. Commence alors une longue descente aux enfers sur fond de drogues, de nuits blanches, d’alcool et de rock and roll.

 

L'AUTEUR

Joseph d'Anvers a déjà eu plusieurs vies : étudiant en arts appliqués, boxeur, chef opérateur de cinéma issue de la prestigieuse FEMIS, auteur de textes pour d'autres chanteurs (notamment Alain Bashung, pour lequel il écrit « Tant de Nuits » sur Bleu Pétrole), il signe surtout deux albums remarqués et salués unanimement par la critique (Les Choses en face, 2006 et Les Jours sauvages, 2008).De ses collaborations avec Day One, Mario Caldato Jr (producteur des Beastie Boys, Beck, Jack Johnson...), Money Mark, Miossec, Bashung, Moreno Veloso ou Dick Rivers est composé son album L'homme sans âge, 2008, il garde le goût du risque, des voyages et des expérimentations. Joseph d'Anvers livre aujourd'hui son premier roman, posant ainsi les jalons d'une nouvelle vie.

 

ISBN 978-2-35461-006-7

12X18 cm, 176 pages,

11 €

Parution le 8 mars 2010

« Joseph d’Anvers n'a pas été chef opérateur pour rien. Il a l'oeil. Qu'il décrive le IXème arrondissement de Paris écrasé par les pluies, inondé, les salles de concert, les bars, l'univers d'un groupe, c'est toujours avec un grand sens du détail, et une écriture rapide et fluide, envoûtante et entêtante comme un morceau de Nick Cave ou de Tom Waits. »

Bruno Corty, Le Figaro Littéraire

 

« D’une écriture ciselée et poétique, Joseph d’Anvers nous emmène dans l’enfer des coulisses, des après-concerts et des arrière-salles de bistrots de Pigalle. Un polar noir mais surtout musical. Forcément. »

Violette Lazard, Le Parisien

 

« Avec une grande économie de moyens, Joseph d'Anvers réussit un roman noir à l'os, saisissant admirablement l'ambiance de Pigalle, de ses salles de concerts, et les aléas de la scène rock. »

Baptiste Liger, L'Express 

 

« C'est bien mené, rock et original. »

Olivia de la Lamberterie, Elle

 

« Un premier roman fort et puissant. Du grand d’Anvers. »

Cali Rise, Impudique magazine

 

« On découvre en quelques heures un style, un univers, une volonté d'accrocher le lecteur et une connaissance pointue du milieu rock. » 

Cathy Viale, Abus dangereux

 

« Une très jolie prestation d’écriture alternative aux classiques de la maison polar. »

Jean-Hugues Villacampa, La Tête en noir

 

« Pluie, nuit, drogues, sang et riffs orageux : sa plume affûtée y bascule de 2011 à 2024 dans d’incessants et passionnants allers-retours, cantonnés au 9e arrondissement parisien, entre Pigalle, Rochechouart Trinité et Poissonnière. »

Denis Bonneville, La Marseillaise

 

« Chapitres courts, musique des mots, écriture nerveuse parsemée d’indications comme on en trouve dans un scénario : Joseph d’Anvers a un style déjà bien affirmé. »

Philippe Depalle, Le Journal du Centre

 

« Joseph d’Anvers signe ici un premier roman prometteur aux éditions La Tengo. On y retrouve tous les ingrédients du polar parmi lesquels le suspense qui rythme les 160 pages, des lieux mythiques du IXe arrondissement de Paris. »

Stéphane Ebel, Nevers ça me botte

 

« Excellente surprise que ce volume qui présente déjà la meilleure BO. La mise en forme temporelle virevolte du présent au futur en induisant à chaque bond des questions, des détails qui pimentent la lecture et captivent jusqu'au bout. »

Guillaume Dumazer, Pwah