Schnock n°50
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Schnock n°50

17,14 €

Johnny Hallyday 

Quantité

N°50, Printemps 2024, Johnny Hallyday

Sous la direction de Christophe Ernault et Laurence Rémila

 

SOMMAIRE

p.3 L’Édito

p.6 Le Trombinoschnock

 

P.8 Schnock des cultures tout ce que vous avez toujours voulu savoir etc.

p.10 « Bien entendu, c’est on » par Éléonore Cambret

p.14 Le Top 15 Johnny, objets de culte, par Michel Dalloni

 

P.26 Les Schnocks parlent aux Schnocks

p.28 Le Grand Dossier - Johnny Hallyday

p.30 Johnny Hallyday : « Les gens qui sourient tout le temps ont l’air con » par Serge Loupien

p.38 Le Petit Johnny illustré par Karelle Fitoussi, Baptiste Vignol et Vincent Brunner

p.50 Léon Smet, le père invisible par Yves Bigot

p.58 Que j’aime « Que je t’aime » par Laurent Chalumeau

p.74 Nanette Workman : « Même dans ses excès, Johnny savait poser des limites » par Thibault Geffrotin

p.78 Docteur Bamy et Mister Hallyday par Baptiste Vignol

p.86 Johnny par la bande par Christian Eudeline, Thibault Geffrotin et Georgina Tacou

p.90 Top 20 Johnny Hallyday par Alister

p.100 Johnny Lagaffe par Armand Noël 

p.104 Daniel Rondeau : « La mélancolie l’a accompagné jusqu’à la fin de sa vie » par Laurence Rémila

p.114 Nathalie Baye : « Johnny, c’était un pépère tranquille ! » par Luc Larriba

p.120 Johnny au cinéma vu par… Patrice Leconte, Lætitia Masson, Laurent Tuel, Costa-Gavras, Claude Lelouch et Hervé Palud par Luc Larriba et Marc Godin

p.128 Schnock vidéo présente Terminus par Sylvain Perret

p.138 Johnny au ciné – Le best of et le worst of par Marc Godin

p.142 Johnny : « Je suis un fou des sauces ! » par Alister

p.146 Johnny Canaille ! par Luc Larriba et Laurence Rémila

p.160 Johnny dans Schnock

 

P.168 Schnock chez soi lectures & autres loisirs de chambre

p.170-175 Nos Trésors cachés ne le restent jamais très longtemps

p.170 Trésor livre : Dans l’ombre de Johnny d’Alan Coriolan par Laurence Rémila

p.172 Trésor CD : Lorada de Johnny Hallyday par Alister

p.174 Trésor DVD : J’ai tout donné de François Reichenbach par Alister

 

ISBN 978-2-35461-297-9

15X21 cm, 176 pages, 

17,5 €

Parution le 27 mars 2024

« Pour son numéro 50, Schnock consacre son édition trimestrielle en intégralité à Johnny Hallyday »

Sylvain Siclier, Le Monde

 

« Revue trimestrielle à la fois vintage et branchée, Schnock parle de chansons ou de films d’il y a 40, 60 ans ou plus, de façon érudite et fouillée mais sur un ton plein d’humour distancié »

Paul Ricard, AFP

 

« Vous pensez tout connaître de Johnny Hallyday ? Je vous garantis que vous allez découvrir des choses. Pour celles et ceux qui se sont sentis un peu éloignés de Johnny à cause de son image, ce numéro casse beaucoup les clichés. Bravo pour ce numéro 50 à la revue Schnock C’est la meilleure revue de pop culture, voire la seule qui vaille le coup »

Émilie Mazoyer, France Bleu

 

« Il y a tout ce qu’il faut savoir sur Johnny ! »

Philippe Labro, L’Essentiel, C8

 

« 176 pages sur la légende où l’on apprend que Johnny est un passionné de sauces »

Murielle Rousselin, France info

 

« Sociologiquement, c’est plein de petites pépites. Un numéro très très très amusant et très instructif »

Hugues Dayez, « La Semaine des 5 heures », La Première RTBF

 

« Dans la malle aux trésors, on trouvera une interview donnée à Libé garantie sans langue de bois, ainsi qu’un florilège de piques bien senties »

Éric Naulleau, Playboy

 

« Nul n’est besoin d’être fan, encore moins agrégé en hallydaydisme, pour apprécier. Les textes sont parfois sérieux, graves, légers, parfois carrément futiles. Mais tout est bon, agréable, c’est du Hallyday vu la plupart du temps par l’autre bout de la lorgnette, du Johnny insolite, de la matière non forcément inédite (tout semble avoir été dit sur lui), mais peu imprimée et de toute façon vue différemment »

Michel Kemper, Nos enchanteurs

 

« En 13 ans, la revue Schnock, qui parle de la culture populaire des années 60, 70, 80 avec beaucoup de sérieux et d’érudition, s’est imposée dans le paysage »

Julien Pichené, « Culture médias », Europe 1

 

« Schnock est plus contemporain que jamais. Totalement tendance ! »

François Barras, 24 heures

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